StBasile pĂšre NoĂ«l en GrĂšce arrive le 1er janvier avec ses cadeaux. Le pĂšre NoĂ«l t Basile n’est pas jouflu. Il ne porte pas le barbe blanche et le manteau rouge. A la St Planifiezvotre propre voyage en GrĂšce .En Asie Mineure, vers l'an 300 de notre Ăšre, dans la ville grĂ©co-romaine de Myra, naquit un pieux jeune homme nommĂ© Nikolaos. Il Ă©tait l'un Ilest la combinaison du sujet principal de plusieurs histoires diffĂ©rentes, y compris les contes de Kris Kringle, du PĂšre NoĂ«l et de la vie rĂ©elle de Saint-Nicolas de GrĂšce. Le PĂšre NoĂ«l est reprĂ©sentĂ© de diverses maniĂšres Ă  travers le monde, en fonction de la façon dont ces histoires se sont rĂ©unies au fil du temps, mais en LePĂšre NoĂ«l arrive en traineau, dans la nuit du 24 au 25 dĂ©cembre, pour distribuer des cadeaux aux enfants sages, en descendant par la cheminĂ©e. Ce personnage semble avoir eu plusieurs ancĂȘtres en France, notamment le PĂšre Chalande savoyard, le PĂšre Janvier bourguignon ou encore l’Olenzaro basque. Mais c’est surtout saint Nicolas CeSaint Est Le PĂšre NoĂ«l En GrĂšce Solution. RĂ©ponses mises Ă  jour et vĂ©rifiĂ©es pour le niveau CodyCross Faune Et Flore Groupe 162. Derniers niveaux . Monuments Imposants YMpv. Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă  cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de Word Lanes Ce saint est le PĂšre NoĂ«l en GrĂšce. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă  ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. 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D'aucuns ignorent en revanche d'oĂč il vient... et qu'il a failli mourir. vous dit tout sur ce personnage qui symbolise aujourd'hui, Ă  tort ou Ă  raison, le PĂšre NoĂ«l est aujourd'hui le symbole incontournable de NoĂ«l, cela n'a pas toujours Ă©tĂ© le cas. "Le PĂšre NoĂ«l c'est une invention de Coca-Cola" vous diront certains de ses dĂ©tracteurs, "le vrai PĂšre NoĂ«l ne s'habille pas en rouge" corrigeront d'autres, vous en trouverez mĂȘme pour oser affirmer que c'est "une ordure" ou qu'il "n'existe pas". A tout le monde s'accorde Ă  dire qu'il existe on vous dit tout sur ce vieil homme au ventre descendant de Saint NicolasLe 3 janvier 1863, Thomas Nast prĂ©sente dans le journal new-yorkais Harper's Weekly un personnage qui ne ressemble pas encore au PĂšre NoĂ«l tel qu'on le connaĂźt aujourd'hui. © -A l'origine du PĂšre NoĂ«l il y a Saint Nicolas, un Ă©vĂȘque ayant vĂ©cu Ă  la fin du 3e siĂšcle en Turquie. GĂ©nĂ©reux et timide Ă  la fois, il a dĂ©cidĂ© d'aider trois sƓurs trop pauvres pour se constituer une dot. Une premiĂšre nuit, il grimpe sur le toit de leur maison pour jeter par la cheminĂ©e une bourse d'or. Il fait de mĂȘme une deuxiĂšme nuit, puis une troisiĂšme oĂč cette fois la bourse tombe dans une chaussette qui Ă©tait en train de sĂ©cher au-dessus du foyer. Saint Nicolas mourut un 6 dĂ©cembre et ce fut longtemps Ă  cette date que les enfants reçurent des cadeaux en Allemagne, aux Pays-Bas et dans l'est de la France. A cette Ă©poque, il est reprĂ©sentĂ© de diffĂ©rentes façons et avec diffĂ©rentes 3 janvier 1863, Thomas Nast, un AmĂ©ricain nĂ© en Allemagne, publie dans le journal new-yorkais Harper's Weekly, un personnage hybride du Saint Nicolas europĂ©en et d'un poĂšme amĂ©ricain connu sous le nom de "The night before Christmas". Il raconte la venue de Saint Nicolas, qui descend du ciel sur un traĂźneau tirĂ© par huit rennes. "Il Ă©tait revĂȘtu de fourrure de la tĂȘte aux pieds, Et ses habits Ă©taient recouverts de cendres et de suie", peut-on y lire. Le PĂšre NoĂ«l n'est donc pas encore habillĂ© en rouge. A cette Ă©poque, les Hollandais, nombreux aux Etats-Unis, appellent Saint Nicolas Sinterclaes. C'est ainsi qu'est nĂ© celui que les AmĂ©ricians appellent dĂ©sormais Santa Claus et que l'on est passĂ© d'un Saint Nicolas distribuant des cadeaux le 6 dĂ©cembre au PĂšre NoĂ«l passant dans la nuit du 24 au 25 contribua Ă  sa popularitĂ©PublicitĂ© de Coca-Cola en 1931. © -Tous les hivers, Coca-Cola diffuse des publicitĂ©s avec un PĂšre NoĂ«l rĂ©pandant du Coca-Cola et du bonheur dans le monde. La firme d'Atlanta se gargarise mĂȘme sur son site d'ĂȘtre Ă  l'origine de l'apparence actuelle de notre PĂšre NoĂ«l. On peut y lire "DĂ©cembre 1931, l’illustrateur Haddon Sundblom crĂ©e pour Coca-Cola l’image joviale et la tunique rouge de PĂšre NoĂ«l".Les sodas se vendant moins bien en hiver, l'entreprise amĂ©ricaine demande Ă  Haddon Sundblom de crĂ©er un PĂšre NoĂ«l pour l'aider Ă  vendre ses boissons aux enfants. Si d'autres publicitaires s'Ă©taient dĂ©jĂ  emparĂ©s du PĂšre NoĂ«l avant Coca-Cola et l'avaient habillĂ© en rouge, aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, les GI's qui dĂ©barquent en Europe avec du soda dans leur hotte contribuent Ă  y populariser le PĂšre NoĂ«l version jour oĂč le PĂšre NoĂ«l finit au bĂ»cherLe PĂšre NoĂ«l a eu trĂšs chaud en dĂ©cembre 1951 Ă  Dijon. © -AprĂšs la Seconde Guerre mondiale, la popularitĂ© grandissante du PĂšre NoĂ«l fait trop d'ombre Ă  JĂ©sus, dont on fĂȘtait initialement la naissance le jour de NoĂ«l, selon l'Eglise catholique. La colĂšre gronde en 1951, au point que le 19 juillet de cette annĂ©e-lĂ , le quotidien La Croix Ă©voque "une campagne des mouvements catholiques contre le PĂšre NoĂ«l". En novembre, le cardinal SaliĂšge condamne le PĂšre NoĂ«l dans le journal L'Aurore. François Mauriac et Jean Cocteau polĂ©miquent sur le paroxysme de l'opposition au PĂšre NoĂ«l est atteint Ă  Dijon le 24 dĂ©cembre 1951. LassĂ© de voir le PĂšre NoĂ«l s'afficher dans tous les magasins, le curĂ© Jacques Nourissat, aidĂ© de paroissiens, accroche une effigie du PĂšre NoĂ«l aux grilles de la cathĂ©drale, avant d'y mettre le la suite, l'anthropologue Claude LĂ©vi-Strauss prend la dĂ©fense du gros barbu en lui accordant le statut de "divinitĂ© d'une classe d'Ăąge", qui s'adresse aux enfants, quelles que soient leurs les annĂ©es 1970, la psychanalyste Françoise Dolto prend Ă  son tour le parti du PĂšre NoĂ«l, alors que la question se pose de savoir si l'on peut mentir aux enfants. Elle est aussi la premiĂšre Ă  rĂ©diger la carte-rĂ©ponse type envoyĂ©e par les PTT aux enfants qui adressent leur lettre au PĂšre NoĂ«l. Ce travail lui est confiĂ© par son propre frĂšre Jacques Marette, alors ministre des le PĂšre NoĂ«l est enfermĂ© dans un zooUn faux PĂšre NoĂ«l enfermĂ© au zoo de Prague © -La hotte du PĂšre NoĂ«l remplie de jouets made in China est rĂ©guliĂšrement la cible des altermondialistes et des RĂ©publique TchĂšque aussi, Santa Claus vient bousculer la tradition. Le directeur du zoo de Prague vient de lancer une action pour dĂ©fendre le trĂšs traditionnel "Jezisek", l'Enfant JĂ©sus, qui distribue les cadeaux aux enfants tchĂšques depuis des siĂšcles. Il a enfermĂ© dans un enclos trois hommes dĂ©guisĂ©s en PĂšre NoĂ«l Ă  qui sont distribuĂ©s toutes les heures des frites, des hamburgers et des vit le PĂšre NoĂ«l?L'adresse du PĂšre NoĂ«l est elle aussi controversĂ©e. Les AmĂ©ricains considĂšrent qu'il habite au PĂŽle Nord mais pour les Finlandais c'est impossible ses rennes ne pourraient y survivre. Ils ont donc fixĂ© sa rĂ©sidence en Laponie et y ont mĂȘme construit une maison aprĂšs la guerre, pour la visite de la premiĂšre dame des Etats-Unis, Eleanor les Danois, le PĂšre NoĂ«l habite au contraire au Groenland. Enfin, les Russes sont convaincus qu'on le trouve en s'appelle le PĂšre NoĂ«l ailleurs dans le monde?Le PĂšre NoĂ«l est aujourd'hui populaire dans le monde entier, y compris en Chine et au Japon, deux pays d'extrĂȘme-orient pourtant Ă©trangers Ă  la tradition de lui donne donc son petit nom. Pour les AmĂ©ricains, comme expliquĂ© plus haut, il s'appelle Santa Claus, nom dĂ©rivĂ© du Sinterclaes hollandais, mais aussi Father Christmas. Appelez-le JĂłlasveinn ou Yule Lads en Islande, Noel baba en Turquie, Saint Basil en GrĂšce, Viejito Pascuero au Chili ou encore Papi Gel en surtout, nhĂ©sitez pas Ă  crĂ©er votre propre tradition. L'histoire du PĂšre NoĂ«l continue de s'Ă©crire. La veille de NoĂ«l, les enfants, en particulier les garçons, sortent souvent chanter des kalanda » chants de noĂ«l dans les rues. Ils jouent de la batterie et des triangles en chantant. Parfois, ils transporteront Ă©galement des modĂšles rĂ©duits de bateaux dĂ©corĂ©s de noix peintes en or. Porter un bateau est une coutume trĂšs ancienne dans les Ăźles grecques. Si les enfants chantent bien, on pourrait leur donner de l’argent, ainsi que des choses Ă  manger comme des noix, des bonbons et des figues sĂšches. Une dĂ©coration ancienne et trĂšs traditionnelle est un bol en bois peu profond avec un morceau de fil suspendu sur le bord. Un brin de basilic enroulĂ© autour d’une croix en bois et pend au fil. Un peu d’eau est conservĂ©e dans le bol pour garder le basilic vivant et frais. Une fois par jour, quelqu’un, gĂ©nĂ©ralement la mĂšre de famille, trempe la croix et le basilic dans de l’eau bĂ©nite et l’utilise pour asperger d’eau dans chaque piĂšce de la maison. On pense que cela Ă©loigne les kallikantzaroi » ΚαλλÎčÎșÎŹÎœÎ±ÏÎż mauvais esprits. Les kallikantzaroi ne sont censĂ©s apparaĂźtre que pendant la pĂ©riode de 12 jours allant de NoĂ«l Ă  l’Épiphanie 6 janvier. Ils sont censĂ©s venir du milieu de la terre et entrer dans la maison des gens par la cheminĂ©e! Les kallikantzaroi font des choses comme Ă©teindre les feux et faire partir le lait. Avoir un feu qui brĂ»le pendant les douze jours de NoĂ«l est Ă©galement destinĂ© Ă  Ă©loigner les kallikantzaroi brĂ»ler de vieilles chaussures est censĂ© ĂȘtre un trĂšs bon moyen d’effrayer les kallikantzaroi. Chaque mois de dĂ©cembre, sur la place Aristotelous de la ville de Thessalonique qui est la deuxiĂšme plus grande ville de GrĂšce, un immense sapin de NoĂ«l et un voilier Ă  trois mĂąts sont installĂ©s. C’est une attraction touristique populaire. Il y a aussi de grandes expositions de bateaux dans d’autres grandes villes grecques comme AthĂšnes. Les navires dĂ©corĂ©s sont une vieille tradition en GrĂšce oĂč les petits navires Ă©taient installĂ©s dans des maisons lorsque les marins revenaient de voyages en mer. Les arbres de NoĂ«l sont populaires en GrĂšce. Le premier arbre de NoĂ«l connu en GrĂšce date de 1833 et a Ă©tĂ© installĂ© par le roi Otto Ă  cĂŽtĂ© d’un grand bateau dĂ©corĂ©. Au fil du temps, en particulier Ă  la fin du 20e siĂšcle, les arbres de NoĂ«l dĂ©corĂ©s sont devenus plus populaires que la dĂ©coration d’un bateau. Mais maintenant, avoir un bateau ainsi qu’un arbre devient de plus en plus populaire! Aller Ă  une Messe de Minuit est trĂšs important pour la plupart des Grecs. AprĂšs le service, les gens peuvent rentrer chez eux et terminer leur jeĂ»ne de l’Avent. Le repas de NoĂ«l principal est souvent de l’agneau ou du porc, rĂŽti au four ou Ă  la broche ouverte. Il est souvent servi avec une tarte aux Ă©pinards et au fromage et diverses salades et lĂ©gumes. D’autres aliments de NoĂ«l et du nouvel an comprennent le Baklava » une pĂąte sucrĂ©e Ă  base de pĂąte filo remplie de noix hachĂ©es et sucrĂ©e avec du sirop ou du miel, le Kataifi une pĂąte Ă  base d’une forme spĂ©ciale de pĂąte filo dĂ©chiquetĂ©e et aromatisĂ©e aux noix et Ă  la cannelle, LesĂ©ples une sorte de pĂątisserie frite. Les pĂątisseries sont consommĂ©es au petit-dĂ©jeuner ou en entrĂ©e. Un autre dessert de NoĂ«l populaire est le melomakarono, un biscuit / gĂąteau aux Ɠufs ou de forme oblongue Ă  base de farine, d’huile d’olive et de miel et roulĂ© dans des noix hachĂ©es. Une dĂ©coration de table traditionnelle est constituĂ©e de pains de Christopsomo » Pain du Christ ou pain de NoĂ«l. C’est un pain rond sucrĂ© aromatisĂ© Ă  la cannelle, Ă  l’orange et au clou de girofle. Le dessus est dĂ©corĂ© d’une croix. Le pain est prĂ©parĂ© la veille de NoĂ«l, prĂȘt Ă  ĂȘtre mangĂ© le jour de NoĂ«l. En grec Joyeux / Joyeux NoĂ«l est Kala Christougenna’. Joyeux / Joyeux NoĂ«l dans beaucoup plus de langues. En GrĂšce, les cadeaux sont souvent apportĂ©s aux enfants par Aghios Vassilis / ΚγÎčÎż Βαίλη Saint Basile/ Saint Vasilis le 1er janvier car c’est le jour de la Saint Basile. Le rĂ©veillon du Nouvel An, de nombreuses familles prendront un grand repas et joueront Ă  des jeux. À minuit, il y a beaucoup de cĂąlins, de baisers et de meilleurs voeux pour la nouvelle annĂ©e. Des chants / chants de kalanda du Nouvel An pourraient Ă©galement ĂȘtre chantĂ©s. Le jour de l’An, dans de nombreux endroits en GrĂšce, il y a la tradition des Bounamathes bouna-MA-thes. Les adultes de la famille donnent de l’argent et des cadeaux aux enfants en leur souhaitant une bonne annĂ©e. Un autre grand Ă©vĂ©nement dans de nombreuses maisons le jour de l’An est le Pothariko pothari-KO. C’est une tradition qui dit qu’un enfant que l’on pense ĂȘtre chanceux » ou le premier-nĂ© d’une famille ou parfois l’homme de la maison doit ĂȘtre la premiĂšre personne Ă  entrer dans une maison cette annĂ©e-lĂ  – et ils doivent le faire du pied droit. Les Grecs croient que cela portera chance au mĂ©nage toute l’annĂ©e. Dans certaines rĂ©gions de GrĂšce, la personne tient une grenade et la casse Ă  la porte d’entrĂ©e avant d’entrer dans la maison. Les graines sont dispersĂ©es, ce qui symbolise le bonheur et la bonne fortune de la maison – et plus il y a de graines de grenade, mieux c’est! Il y a aussi un gĂąteau spĂ©cial de la Saint-Basile appelĂ© Vasilopita » vasi-LO-pita. Le gĂąteau a une piĂšce de monnaie cuite Ă  l’intĂ©rieur. Dans certaines parties de la GrĂšce, le gĂąteau est sucrĂ©, mais dans d’autres, il ressemble plus Ă  un pain. Celui qui trouve la piĂšce dans sa tranche est considĂ©rĂ© comme chanceux pour l’annĂ©e. Dans certaines familles, le pĂšre de la maison coupe la Vasilopita et distribue les morceaux. Traditionnellement, la premiĂšre tranche est pour JĂ©sus, la deuxiĂšme pour Marie, la troisiĂšme pour les pauvres et la quatriĂšme pour la maison. Ensuite, le reste des tranches va aux membres de la famille / du mĂ©nage en fonction de leur Ăąge, avec la personne la plus ĂągĂ©e en premier. Les Grecs cĂ©lĂšbrent Ă©galement l’Épiphanie le 6 janvier. Dans l’Église orthodoxe grecque, l’Épiphanie cĂ©lĂšbre le baptĂȘme de JĂ©sus lorsqu’il Ă©tait un homme. Il est Ă©galement connu sous le nom de BĂ©nĂ©diction des eaux ». Il y a beaucoup d’évĂ©nements dans tout le pays oĂč de jeunes hommes plongent dans des lacs, des riviĂšres et la mer vraiment froids pour essayer d’ĂȘtre les premiers Ă  obtenir une croix qui a Ă©tĂ© bĂ©nie par un prĂȘtre et jetĂ©e Ă  l’eau. Celui qui reçoit la croix en premier est censĂ© avoir de la chance au cours de l’annĂ©e Ă  venir. Les fĂȘtes de l’Épiphanie incluent Ă©galement des bĂ©nĂ©dictions de bateaux & navires, musique, danse et beaucoup de nourriture. Annonces Conseils & Actus Le PĂšre NoĂ«l Les o... Dossier Dossier NoĂ«l 2014 Un costume rouge, une barde blanche, des clochettes qui tintent, le crissement de bottes qui s’enfoncent dans la neige et enfin, un Oh oh oh » lancĂ© d’une voix chaude dans la nuit froide de ce 24 dĂ©cembre. Vous l’aurez compris, cet article sera consacrĂ© au PĂšre NoĂ«l, Ă  son histoire et Ă  ses secrets
 Odin sur son cheval Ă  huit pattes © patrimonio designs LĂ©gendes nordiques C’est ici que dĂ©marre notre enquĂȘte. Le PĂšre NoĂ«l tel que nous le connaissons aujourd’hui, semble ĂȘtre la rĂ©sultante du mĂ©lange de plusieurs lĂ©gendes plus ou moins anciennes. Parmi ces lĂ©gendes on compte celle de Julenisse, un lutin nordique offrant des cadeaux lors de la Midtvintersblot, la fĂȘte du milieu de l’hiver. Le dieu viking Odin semble Ă©galement avoir inspirĂ© le mythe du PĂšre NoĂ«l. Selon la lĂ©gende, il descendait sur terre pour offrir des cadeaux aux enfants. Chronologiquement, c’est bien ce dernier qui semble ĂȘtre Ă  l’origine de toutes les autres lĂ©gendes Ă©voquant un personnage venant offrir des cadeaux en hiver. Mais ces lĂ©gendes paĂŻennes n’avaient pas de rĂ©el lien avec la fĂȘte chrĂ©tienne de NoĂ«l. Certes on leur doit une grande partie de la tenue du PĂšre NoĂ«l moderne mais le mythe dĂ©finitif » Ă©voquant une distribution de cadeaux Ă  l’occasion de la fĂȘte de la nativitĂ© provient quant Ă  lui de Saint Nicolas. © Ievgen Melamud Saint Nicolas La piste que nous avons suivi nous a conduit jusqu’à Saint Nicolas. Il s’agit d’un personnage historique qui serait nĂ© Ă  la fin du IIIĂšme siĂšcle au sud de la Turquie. Devenu Ă©vĂȘque de Myre et disposant d’un important hĂ©ritage, il distribuait anonymement Ă  la nuit tombĂ©e, des cadeaux et de la nourriture aux pauvres. Une maniĂšre pour l’Eglise de rĂ©cupĂ©rer les anciens mythes scandinaves. Au XVIĂšme siĂšcle, la lĂ©gende de Saint Nicolas fut reliĂ©e Ă  la NativitĂ© et ce dernier devint petit Ă  petit le PĂšre NoĂ«l. Le lien avec les enfants naĂźtra quant Ă  lui d’un fait divers italien. En effet, Ă  Bari, oĂč Ă©tait conservĂ©e une partie des reliques de Saint Nicolas, un boucher aurait dĂ©coupĂ© trois enfants qui auraient finalement Ă©tĂ© ressuscitĂ©s par miracle. DĂšs lors, lĂ©gendes et coutumes se sont dĂ©veloppĂ©es autour d’un personnage vĂȘtu Ă  la maniĂšre de Saint Nicolas grande barbe, crosse d’évĂȘque, vĂȘtement Ă  capuche allant de maison en maison pour distribuer des cadeaux aux enfants sages le 6 dĂ©cembre, jour de la mort de Saint Nicolas. © derdy Le PĂšre NoĂ«l Nous y sommes presque, le vrai PĂšre NoĂ«l n’est plus trĂšs loin. Finalement, ce n’est qu’au XIXĂšme siĂšcle, d’abord au Royaume-Unis puis en AmĂ©rique, que s’est opĂ©rĂ©e la transformation entre Saint Nicolas et Santa Claus tel qu’on le connaĂźt aujourd’hui. En 1821, le pasteur Clement Clarke Moore Ă©crivit un compte faisant apparaĂźtre Santa Claus avec de l’embonpoint, un sucre d’orge Ă  la place de la crosse, un bonnet Ă  la place de la mitre et un attelage de rennes Ă  la place de la mule de Saint Nicolas. Puis en 1860, Thomas Nast, illustrateur pour le journal new-yorkais Harper’s Illustrated Weekly, remplaça les vĂȘtements d’évĂȘque par une robe rouge. Une lĂ©gende veut que la marque Coca Cola ait inventĂ© » le PĂšre NoĂ«l en 1931. Une vision un peu simpliste quand on connaĂźt sa longue Ă©volution. Mais en effet, c’est bien en 1931 que les derniĂšres modifications furent apportĂ©es au personnage par le dessinateur Haddon Sundblom dans une publicitĂ© pour Coca Cola. Le PĂšre NoĂ«l troqua sa robe rouge contre un pantalon et une tunique, tandis que son visage s’illumina d’une expression joviale et bienveillante. Ainsi naquit le PĂšre NoĂ«l. En France, il a Ă©tĂ© popularisĂ© par les Ă  la fin de la Seconde Guerre Mondiale. MĂȘme si le personnage Ă©tait connu depuis longtemps dans l’hexagone, la rĂ©sistance des catholiques Ă  ce genre de traditions laĂŻques avait freinĂ© l’expansion du gros bonhomme Ă  la barbe blanche. Dossier NoĂ«l 2014 NoĂ«l en chiffres Le PĂšre NoĂ«l Les origines du mythe IdĂ©es cadeaux pour ce NoĂ«l 2014 Les bourses aux jouets La revente des cadeaux de NoĂ«l À lire Ă©galement CrĂ©dit renouvelable Ă©volution en chiffres du prĂȘt conso Ă  taux variable en France Le PĂšre NoĂ«l Les origines du mythe NoĂ«l en chiffres Loi Hamon Vos nouveaux droits face aux assurances de la plume de Dussert* * Notre critique invitĂ©e est une traductrice professionnelle, diplĂŽmĂ©e en littĂ©rature française, nĂ©e en France, vivant en Angleterre depuis de longues annĂ©es. ImprĂ©gnĂ©e des deux cultures, elle est adepte du grand Ă©cart linguistique. Jan Steen. La Saint-Nicolas. c. sur toile, 82 x cm. Rijksmuseum, Amsterdam,Hollande La tradition de l’échange de cadeaux au solstice d’hiver remonte aux temps anciens. Aujourd’hui, le christianisme Ă©tant passĂ© par lĂ , les cadeaux sont distribuĂ©s Ă  la noĂ«l, par les diligents services du PĂšre NoĂ«l. Mais il n’en fut pas toujours ainsi
. Ils Ă©taient trois petits enfantsQui s’en allaient glaner aux champsTant sont allĂ©s tant sont venusQue sur le soir se sont perdusS’en sont allĂ©s chez le boucherBoucher voudrais-tu nous loger ? Mimant les paroles chantĂ©es par le chƓur, trois petits bouts courent de ci de lĂ , guidĂ©s par une monitrice qui leur explique les mouvements devant les amener fatidiquement Ă  la sinistre porte du boucher
 Ils prĂ©parent une reprĂ©sentation de La LĂ©gende de St. Nicolas pour marquer le six dĂ©cembre, fĂȘte du saint patron des enfants. LĂ©gende et tradition 
Porte sinistre car la LĂ©gende, plus proche du conte de Grimm que du catĂ©chisme, veut que le boucher tue les gosses pour en faire du jambon. Il les conserve au saloir jusqu’au jour oĂč le Saint, Ă©vĂȘque de son Ă©tat, passant par lĂ  au cours d’une tournĂ©e Ă©piscopale s’invite chez le boucher, le confronte Ă  son crime et ressuscite les enfants. Gentile da FabrianoEpisodes de la vie de Saint Nicolas de Bari MusĂ©es du Vatican Nous sommes dans les annĂ©es cinquante et, dans le Nord et l’Est de la France, comme en Belgique et en Allemagne, c’est Saint Nicolas qui apporte les cadeaux – le six dĂ©cembre. Ce matin-lĂ , les enfants se lĂšvent sans regimber et se hĂątent vers la cheminĂ©e oĂč ils dĂ©couvrent les cadeaux placĂ©s dans leur chaussure. Pour autant, le Saint Ă©vĂȘque n’est pas seul il est escortĂ© de son Ăąne, bĂątĂ© pour le transport des cadeaux, et du PĂšre Fouettard, son acolyte, exĂ©cuteur des hautes Ɠuvres, chargĂ© de punir les garnements qui mĂ©ritent une bonne correction plutĂŽt qu’un cadeau. Dans de nombreuses familles, les enfants ont laissĂ© la veille, aux abords de la cheminĂ©e, une carotte pour l’ñne et une douceur pour Saint Nicolas – disparues au matin sans laisser de traces, bien sĂ»r ! Que d’histoires circulant dans la cour de rĂ©crĂ©ation, ce 6 dĂ©cembre Pierrot avait Ă©tĂ© tirĂ© du lit sans cĂ©rĂ©monie pour tĂąter du fouet du pĂšre Fouettard et Jeannot n’avait rien eu cette annĂ©e, Saint Nicolas estimant qu’il n’était pas assez gentil
 l’authenticitĂ© de ces racontars n’est pas avĂ©rĂ©e mais elle s’explique par la menace souvent faite aux enfants rĂ©calcitrants. Mais qui Ă©tait Saint Nicolas? Saint Nicolas de Myre fut, au quatriĂšme siĂšcle de notre Ăšre, l’évĂȘque de Myre l’actuelle Derme, en Turquie. À l’arrivĂ©e des Sarrasins ses reliques, qui attiraient dĂ©jĂ  les foules, furent transfĂ©rĂ©es Ă  Bari, ville Italienne qui lui donna aussi son nom. Ce saint dont on sait fort peu de choses jouit d’une popularitĂ© qui fait une unanimitĂ© bien rare parmi les traditions chrĂ©tiennes. On lui a dĂ©diĂ© de nombreuses Ă©glises aussi bien en Russie orthodoxe qu’en Belgique et en France catholiques ou qu’en Hollande ou en Angleterre protestantes. À Bari la procession en l’honneur de ses reliques attirait de Russie, dont il est patron tutĂ©laire, de nombreux pĂšlerins, mĂȘme aux temps oĂč l’ƓcumĂ©nisme n’était guĂšre de mise. La GrĂšce et la Lorraine se veulent aussi sous sa protection. MĂȘme la prĂ©sence de notre Ă©vĂȘque au concile de NicĂ©e est disputĂ©e ; mais toutes les lĂ©gendes le concernant s’accordent sur sa bontĂ© et une gĂ©nĂ©rositĂ© sans limites. Outre le miracle du saloir qui en a fit le patron des enfants et des Ă©coliers, on raconte qu’il fournit la dot nĂ©cessaire au mariage de trois filles pauvres – en lançant par leur fenĂȘtre des sacs d’or qu’elles auraient trouvĂ© dans leurs bas ou dans leurs chaussures, d’oĂč la tradition d’y placer les cadeaux. Ainsi patron des cĂ©libataires, il est aussi, pour d’autres miracles, patron des marins et des prisonniers. Et le PĂšre NoĂ«l dans tout ça ? En Belgique et en Hollande, Saint Nicolas demeurera le grand pourvoyeur de cadeaux pour les enfants qui reçoivent aussi des Saint Nicolas, mitrĂ©s et crosse en main, en chocolat ou en pain d’épice. Si en France ce rĂŽle Ă©choit dĂ©sormais au PĂšre NoĂ«l le 25 dĂ©cembre, les enfants des provinces du Nord et l’Est ne continuent pas moins Ă  en recevoir des gĂąteries le 6 dĂ©cembre. Il faut dire qu’avec la Loi de SĂ©paration de l’église et de l’état de 1905, la sĂ©cularisation est si intense que l’introduction de tout Ă©lĂ©ment religieux dans l’éducation publique y fut vigoureusement pourchassĂ©e le voile islamique n’en est qu’un rĂ©cent avatar. Bref, l’arrivĂ©e en grandes pompes d’un prince de l’église dans les Ă©coles publiques aurait fait dĂ©sordre – Il est Ă  noter que l’Alsace et la Lorraine, territoires allemands entre 1870 et 1918 bĂ©nĂ©ficient d’un rĂ©gime diffĂ©rent, insoucieux des activitĂ©s de Saint Nicolas Nikolaus pour les germanophones, Klaus pour les intimes !. Le PĂšre NoĂ«l, apparu en France au dĂ©but du vingtiĂšme siĂšcle, commence vraiment sa marche victorieuse aprĂšs la deuxiĂšme guerre mondiale, le plan Marshall, la popularitĂ© et les importations amĂ©ricaines. C’est lui qui la veille des vacances distribuera aux enfants des Ă©coles les friandises coutumiĂšres. Or, ce Father Christmas, alias Santa Claus, ce bienfaiteur des enfants amĂ©ricains arrivait tout droit de Hollande 
 oĂč encore aujourd’hui, Sint Nikolaas/Sinterklaas, notre Saint Nicolas rĂšgne suprĂȘme sur les fĂȘtes enfantines. La conditionnalitĂ© qui accompagnait les cadeaux de la Saint Nicolas explique peut-ĂȘtre aussi son effacement. L’aspect le plus important, et le plus gracieux, des cadeaux de noĂ«l, n’est-il pas leur gratuitĂ© ? L’idĂ©e mĂȘme du don ? La PĂ©diatre-psychanalyste Françoise Dolto expliquait que le rĂŽle du PĂšre NoĂ«l Ă©tait d’apporter les cadeaux anonymement donc d’apprendre aux enfants qu’il existait une sorte de don qu’on ne pouvait remercier vraiment qu’en agissant de mĂȘme. Et en ce sens, Le PĂšre NoĂ«l personnifie au mieux la gĂ©nĂ©rositĂ© fondatrice de Saint Nicolas, son alter ego.

ce saint est le pÚre noël en grÚce